CARRÉ LUMIÈRE

Bonjour Ariane, quel est votre parcours ?

Après des études de marketing et de management, j’ai travaillé 10 ans à la FNAC en Suisse : une belle expérience professionnelle et humaine. Mon mari a créé Carré Lumière en 2004. Au début, je faisais la sélection des collections et j’apportais un regard extérieur avec les codes et process des grandes enseignes. En 2012, j’ai quitté la FNAC pour ouvrir le second magasin Carré Lumière à Ville-la-Grand.

Quelle est désormais l’identité de Carré Lumière ?

L’idée initiale centrée sur les luminaires était le cœur de notre entreprise, mais rapidement, nous avons élargi notre domaine d’activité vers la décoration. Aujourd’hui, les luminaires représentent 30% de notre activité. En plus de nos deux showrooms, nous avons créé un bureau d’études qui joue un rôle central : nos architectes d’intérieur et notre décoratrice collaborent sur des projets tels que des restaurants, hôtels, Ehpad, bureaux et des projets immobiliers de particuliers. Nous réalisons des études approfondies, proposons des visuels en 3D et assurons le suivi de chantier. Nos clients recherchent des solutions clé-en-main, et c’est précisément ce que nous souhaitons leur apporter.

Comment choisissez-vous les collections ?

Pour être pérenne, nous nous informons, nous suivons les tendances, allons dans les salons comme celui de Milan et apportons nos inspirations. Carré Lumière a une identité propre à ceux qui y travaillent ! J’affectionne les marques de luminaires Flos et Vibia, novatrices et design et la marque de mobilier Mogg qui laisse de jeunes créateurs s’exprimer. En 2022, notre fils, Léo, nous a rejoint, apportant avec lui un regard jeune et dynamique sur le monde du design et du commerce.